
Le secrétaire général de l’ONU après avoir informé le Conseil de sécurité que 2 660 personnes ont été tuées en Haïti entre décembre 2024 et février 2025, prend acte de l’incapacité de la PNH à contenir l’expansion des gangs, faisant craindre un « effondrement imminent » de la présence de l’État dans la capitale, Port-au-Prince, et souligne que « sans un soutien supplémentaire de la communauté internationale en matière de sécurité, les perspectives sont sombres », a quelque peu sonné le glas du referendum et des élections générales en 2025, peut-on lire dans une dépêche du Security council report (
Le secrétaire général de l’ONU après avoir informé le Conseil de sécurité que 2 660 personnes ont été tuées en Haïti entre décembre 2024 et février 2025, prend acte de l’incapacité de la PNH à contenir l’expansion des gangs, faisant craindre un « effondrement imminent » de la présence de l’État dans la capitale, Port-au-Prince, et souligne que « sans un soutien supplémentaire de la communauté internationale en matière de sécurité, les perspectives sont sombres », a quelque peu sonné le glas du referendum et des élections générales en 2025, peut-on lire dans une dépêche du Security council report (https://www.securitycouncilreport.org/whatsinblue/2025/04/haiti-briefing-and-consultations-14.php
« En ce qui concerne la situation politique, le rapport du Secrétaire général note que les élections sont essentielles pour mettre fin à la transition politique prolongée d’Haïti. Il prévient toutefois que « sans amélioration significative de la sécurité, aucune assistance électorale internationale ne sera suffisante pour permettre la tenue du référendum constitutionnel et des élections générales en 2025 », peut-on lire dans cette dépêche.
En Haïti, en dépit de la détérioration de la situation sécuritaire et des perspectives d’effondrement totale de Port-au-Prince, la capitale politique d’Haïti, le CEP et le CPT sont en mode référendum et élections.